Les Nations Unies veulent aspirent au désir d’éveiller dans les élèves la volonté de poser des questions d’envergures pour le développement de leurs communautés. Mais ceci doit se faire par le biais de l’introduction d’un système éducatif qui fonctionne efficacement.
Le 07ème point des ODD indique que d’ici 2030 il faut qu’on fasse en sorte que tous les élèves acquièrent les connaissances et compétences nécessaires pour promouvoir le Developpement durable notamment par l’éducation en faveur du Developpement et des modes de vie durables , des droits de l’homme, de l’égalité des sexes , de la promotion d’une culture de paix, de la non violence, de la citoyenneté mondiale , de l’appréciation de la diversité culturelle et de la contribution de la culture au Developpement durable.
Le Developpement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
Cette conception du développement exige des acteurs qui s’y impliquent, des compétences particulières. Les élèves d’aujourd’hui qui sont la relève de demain ont un besoin criard, celui de porter une attention particulière pouvant les outiller dans l’atteinte de ce résultat.
Le développement durable s’il doit être promeut doit faire preuve d’observation des modes de vie durables, la connaissance et le respect des droits de l’homme, l’égalité des sexes, la promotion de la culture et de la paix et de la non violence de la citoyenneté et de l’appréciation de la diversité culturelle. Ces élèves se doivent de s’acquitter de toutes ses vertus.
Selon l’évolution du système éducatif togolais, actuellement ce n’est plus de nature à favoriser l’atteinte de la cible qui constitue les élèves.
La revue du budget du secteur éducatif est de mise. Et ceci doit passer par la gestion des revendications des enseignants car si cela doit passer par des grèves à répétition le Togo ne pourra pas gagner le pari de l’ODD numéro 4.
Kofi Meser
