Une académie des jeunes femmes sur l’entrepreneuriat vert s’est tenue jeudi à Lomé par l’OOADD en collaboration avec WASCAL et les organisations intervenant sur les questions de genre et développement, Youth Impact for Sustainable Development et l’Association Internationale des Jeunes et Femmes Leaders (AIJFL).
La rencontre qui va s’étendre sur le mois de Septembre prochain placé sous le thème « Autonomisation de la jeune femme à travers l’entrepreneuriat vert » va permettre d’outiller 200 femmes sur les opportunités liées à l’entrepreneuriat vert.
Cette académie vise entre autres: Promouvoir l’entrepreneuriat vert, Porter à la connaissance des femmes et des filles les opportunités liées à l’entrepreneuriat vert, Susciter en elles l’envie de s’investir dans le secteur, Elargir le réseau des entrepreneurs verts, Réduire l’écart entre les jeunes hommes et femmes entrepreneurs vert, Développer le leadership au sein de la gente féminine.
Au cours de la rencontre,les bénéficiaires composés essentiellement des jeunes femmes diplômées sans emplois, les étudiantes, les membres des organisations de femmes ont identifiés les projets verts,le réseau des entrepreneurs vert élargi,l’écart entre les jeunes hommes et femmes entrepreneurs vert est réduit,et les compétences en matière de leadership.
Plusieurs communications ont également meubler l’académie.
Elles se sont axées autour des thèmes suivant : Causes et conséquences du changement climatique ,L’entrepreneuriat vert et Opportunités liées ,leadership féminin et entrepreneuriat vert et le Mécanisme de financement des projets verts.
Il faut noter que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du programme de promotion de l’entrepreneuriat vert, l’Observatoire Ouest Africain du Développement Durable (OOADD) lancé en Février 2018, une cartographie en ligne des entrepreneurs verts du Togo.
Les résultats de cette cartographie montrent une représentativité assez faible des femmes dans le secteur. Or, force est de constater que le secteur regorge d’importantes opportunités qui restent inexploitées à ce jour. Face à cette situation, il urge de porter à la connaissance des jeunes femmes, ces opportunités afin de susciter en elles l’envie de s’y investir.
Hector N.
