75 % d’avis favorables ont été donnés à l’entrée du Maroc dans l’espace communautaire. Cette entrée devra permettre de changer la donne économique de la CEDEAO et être profitable à tous.
C’est une information qui a été ressortie au cours d’un sondage réalisé par l’Institut prospective et sécurité en Europe auprès de 1783 députés des 15 pays membre de la CEDEAO entre le 15 juin et le 18 juillet derniers et rendu public en fin de semaine dernière par Bruno Panucchi, un journaliste français.
Cependant, il n’est pas à négliger la demande d’un statut d’observateur par la Tunisie appréciée à 73 % et que des réserves jusqu’à hauteur de 60 % sont émises vis-à-vis de celle de l’Algérie qui pourtant n’a même pas encore formulé officiellement de demande.
À également pris part à cette rencontre avec les médias, Arimiyao Tchagnao, le président du Conseil National des patrons de presse (CONAPP).
Par ailleurs, le sujet sur la monnaie unique de la CEDEAO a été également abordé, avec des pourcentages divergents à savoir 54 % de députés qui sont pour , 27 % peu favorables et 19 % y sont indifférents.
En outre, la coopération entre la CEDEAO et autres est estimée à la moyenne de 66%. Ces députés questionnés souhaitent voir l’organisation « améliorer et harmoniser sa coopération avec les autres organisations sous-régionales ».
Il faut noter que ce sondage est une seconde du genre après celle rendue publique en 2017 dans le cadre du Sommet Union européenne (UE) -Union africaine (UA) à Abidjan en Côte d’Ivoire.
Il est une photo instantanée des opinions des députés, mandataires des populations des pays de la CEDEAO.
En ajout sur 1783 députés qui ont été contactés pour réaliser ce sondage dans les 15 pays membre de l’organisation sou régional, seulement 20 % ont répondu aux questions qui leur ont été posées.
hector N
